Les Landes de Faeruln II
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 Sériel Sérégone

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littlepink_star
Formien bavard
littlepink_star


Messages : 57
Date d'inscription : 04/11/2007
Age : 33
Localisation : Québec

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MessageSujet: Sériel Sérégone   Sériel Sérégone EmptyJeu 22 Nov - 21:43

Sériel

Vous entrez dans la quincaillerie et retrouvez le bon vieux vendeur a la barbe mal faite qui vous fait un grand sourire. Vous trouver sur la table un livre noir aux pages jaunit. Curieux, vous l’acheter au vieux vendeur qui semble heureux de cette affaire. En sortant du Magasin, vous ouvrez votre livre qui est à votre grande surprise est vierge. Déçus, vous décider de la garder quand même avec vous. Arriver à votre logement vous le jeter sur la votre table de chevet et vous coucher sur votre lit en songent à pourquoi vous avez achetez se livre qui ne veut rien.

Soudain, quelque heur plus tard, quelque chose vous réveil. Le livre vous est tomber en plein visage. A moitié endormit vous l’ouvrez et a votre grande surprise, il est remplit. Vous tournez les pagez et vous apercevez que ses un journal intime. Heureux d’avoir fait cette découverte, vous commencer à le lire dès la première page.

Cher journal
Aujourd’hui, est le jour de mes 16 ans. J’ai tellement hâte de devenir plus grande
La vie est pénible par ici. Mes parents son faucher comme les blés depuis que père a perdu son emploi. A chaque pleine lune, les gardes vienne nous prendre quelque chose. La dernière fois c’était Estelle notre plus belle jument. Et en plus tout les autres rient de moi dans le village et dire que si je ne suis pas marié ses que je suis vilaine et même parfois certain me traite de sorcière. Les autres jeunes dames de mon age sont toutes dégât mariée ou promise à un homme grand ou un chevalier. Moi on dirait qu’aucun homme ne veut de moi. Je dois être comme ils le disent tous. J’aimerais juste pour une fois être comme tout les autres, et que pour une fois il m’accepte comme je suis.
Mais je ne crois pas que celas arrive de ci tôt. Alors je te réécris demain journal et nous verrons ce qui s’auras passé.
Mes salutations les plus cher
Sériel


Vous tournez la page avec curiosité. L’écriture semble récente et le vocabulaire est le même que vous. Vous continuer à lire avec un léger sourire à vos lèvres.

Cher journal
Aujourd’hui est je crois, un des pire jour s de ma pauvre vie. J’étais au marché et je faisais des courses pour ma pauvre mère souffrante. Un jeune homme qui était cher le forgeront et il ma fait un sourire. Comme envoûter, je me suis mélanger dans mes pieds je j’ai perdu l’équilibre ! Je me suis donc retrouver dans la bout devant lui qui me regardait d’un air hautain et qui partit sans aucun autre regard. En plus de toute cette gène, les jeunes fille se moquait de moi. Je rentras donc chez moi sur-le-champ. En arrivant je me suis jeter sur mon lit et mon père est venu près de moi. Je n’est pas voulut lui parler de ce qu’il c’était passer pour pas qu’il aille honte d’avoir une fille comme moi. Mais après tout c’était mon père, il savait que je n’allais pas bien. Il me dit donc ces mots « Ma très chère fille, je tien a t’offrire un petit quelque chose » il me tendant donc un anneau fait d’argent travaille à la main. Il était magnifique. Je l’embrassa sur la joue et le questionna pourquoi il m’offrait ce cadeau. Il me répondu seulement que je comprendrais un jour et il quitta. Je glissa l’anneau dans mon annulaire droit. Et je me coucha l’âme remplit de question mais quand même heureuse de ce magnifique cadeau. Alors ses sur ses paroles que je te souhaite la plus belle des nuits mon journal.
Sériel.


L’aube fait surface et plus le jour se lève plus les lettres du journal s’efface. Déçus mais passionner par l’histoire, vous fermé le livre et le déposer sur votre table de chevet et vous lever impatient de le relire le lendemain matin.

La lune est lever et vous vous précipiter dans le journal pour continuer l’histoire de cette jeune femme.

Il fait froid, j’ai peur, je ne comprends rien a ce qui se passe, quelqu'un arrive vite je te cache journal il ne doit pas te voir ni toi ni ma plume je t’expliquerais quand je serais seul et en endroit sur je suis si anxieuse.
La page s’arrête sur ses mots alors vous tournez la page pour continuer mais vous trouvez celas bizarre.
Tu ne croiras jamais ce qui m’est arriver même moi je suis encore surprise. Avant hier en me levant, les gardes étaient encore chez nous comme a l’habitude. Mais cette fois il ne prenait pas un poulet ou un mouton ses moi qu’ils on prix. Mon père pleurait comme un lâche et ne ma même pas aider quand il mon pris et mon jeter dans une grande cage tirée par des chevaux. Les gardes riaient en me jetant dans cette affreuse prison roulante. Il parlait d’un homme important un seigneur a ce que je pensais, ce qui était loin d’être le cas. Arriver à une petite maison au toit de paille, les garde mon mit les menottes et me poussèrent à l’intérieur. Des larmes coulaient le long de mes joues et je me demandais ce qui se passait. Arriver à l’intérieur, un homme assez grand me regardait.

Je le reconnaissais, c’était l’homme du marché. Sans aucune émotion, il cria à ses gardes « dépouiller la » et il partit un peu plus loin dans sa maison. Les gardes déchirèrent ma robe et m’enleva mon anneau qui était le seul souvenir qui me restait de mon père. « Ho mais la p’tite dame à des objets de valeur » dit un des hommes en me retirant ce que j’avais de plus précieux. Je criais que c’était à moi et l’autre homme me giflât en me criant de me taire. L’homme du marcher revenait avec un habit qui ordonna à ses gardes de me mettre. C’était une tenue d’esclave, ces là que je compris. Mon père ma vendu a cet homme pour payer ses dettes ce salaud! L’homme qui semblait riche me regardait de haut et partit. Les garde me mettais ces affreux vêtements qui était loin de sentir la rose. J’étais tellement hot de moi que je me laissais faire en pleurant silencieusement. Quelque minute plus tard, j’étais debout devant l’homme qui allait devenir mon maître
.

  • Aujourd’hui il ne me reste que toi et ma plume et même plus assez d’ancre pour écrire le reste de ma nouvelle vie en tend d’esclave. Ce que je devienne, n'intéresse personne. Ici nous sommes 2 esclaves un homme a la peau noire et au cheveu blanc et moi. Le maître lui fait faire des corvées les plus dures et moi ce que je fais s'est aller au marché laver ses affreux animaux et réchauffer son lit les soirs ou son épouse ne se sent pas bien. La vie que j’ai toujours rêvé jamais je ne l’aurais. J’ai peur car quoi que je fasse, le maître n’est jamais heureux et il me traite comme un de ses affreux cochons. Je ne sais pas encore comme je vais sortir de cet enfer mais je suis q’un jour je me vengerais et je serais de nouveau libre comme j’aurais toujours du l’être.


Vous tournez encore les pages jaunit du petit journal de cette pauvre femme. L’histoire vous semble triste et en survolant les autres pages vous voyez que s'est loin d’être fini.

Cher journal
Celas fait un an que pour la dernière fois j’ai trempé ma plume dans l’ancre pour t’écrire. La jeune femme qui t’écrivais autrefois ses changer en Femme aux mains sèches et aux yeux sans émotions. Une dame au dos brûler et battu à sang. Je ne sais pas encore comment je fais pour continuer à écrire tous ses mots comme je le fais. Dans la rue les autres me regardent avec un regard de pitié mais avec le temps j’ai appris à avoir le dos large. Les insulte et les regardes indiscret ne me fond plus se mal d’autrefois. C’est temps si je ne sais pas ce qui m’arrive. Quand je travaille trop arment, le cœur me chavire et on dirait que mon âme voudrait sortir de mon corps. Ferugon l’autre esclave dit que je suis malade. Si ses le cas j’en serait bien heureuse. Si celas pourrait mettre fin a mon enfer de vit, celas serait le plus beau des cadeaux. Quelque fois le soir, je regarde les étoiles de la grange ou je loge et en m’endormant j’aimerais tellement plus me réveiller.

Le maître ta trouver sur la table il était furieux que j’aille quelque chose. Il ta cacher dans sa bibliothèque toi ainsi que ma plume. Ensuite il ma fait battre. C’était à mes débuts maintenant les coups ne m’affectent plus. Mais Ferugon ma aider à te retrouver et ma volé de l’ancre au marché de l’ancre visible seulement la nuit. Comme celas le maître ne pourras pas lire mes écrits ! Mon compagnon de misère est un ancien combattant, dans son pays il me dit que ses sujets le vénéraient. Il maniait l’épée longue comme personne. Je le crois car il cache, derrière du foin de l’étable, une épée et il m’apprend à me battre. Il dit qu’un jour, le temps venu, je partirais d’ici et je me vengerais de tout le mal que j’ai subit. Il a sen doute raison, mais pour l’instant je suis prisonnière de la plus grande des injustices.
Toutes mes salutations, Sériel

Cher journal
Celas fait 6 mois déjas depuis la dernière fois. La dernière fois ou tu as reçu mes dernier écrit. La maîtresse de maison semble furieuse. A chaque fois quelle me regarde ou passe devant moi elle me crache au pied. Je ne comprends pas les pourquoi de cette jalousie. J’ai le ventre rond comme un ballon. J’ai honte et je ne comprends pas pourquoi la soupe et le pain que chaque soir je mange mon fond tend gonflé. Le maître lui passe ses journées dans son bureau. Quelque fois en tendant l’oreille j’entends des soupirs. Et quand il me croise il ne me regarde même pas. Et j’ai toujours cette maladie qui me fait recracher tout ce que j’avale. C’est le diable qui me hante j’en suis certaine. Je verrais ce que le temps fera mais pour l’instant je suis trop faible pour partir.

Journal, je crois être maudite!
J’ai compris les raisons de tous ses actes bizarres envers Le maître et son épouse. Ferugon Ma faite comprendre que je portais l’irriter du maître. Et que la maîtresse devait ne pas pouvoir faire d’enfant ce que la rendait jalouse. Que vais je faire ! Je ne peux pas mettre cette enfant au monde. Il ne pourra pas vivre, je ne peux même pas le faire moi-même. Celons mon allié de souffrance, l’enfant devrait naître dans les jours qui suivent. Que vais-je faire?

Le bas de la page est onduler. Comme si quelqu'un avait mit de l’eau dans le bas de la page ! Mais vous comprenez assez vite que ses des larmes. En tournant la page vous remarquer que l’écriture noir habituelle est maintenant brune pales.

Journal
Je t’écris ses lignes avec le sang du fils du diable. Ferugon ma aider à le faire sortir de mon ventre. Au premier regard, j’ai vu le même que celui de l’homme qui ma tend fait souffrire. J’ai poser son petit corps par terre et j’ai pris la longue épée de l’homme a la peau noire et j’ai tué mon enfant. C’est à ce moment qu’après m'avoir effondré en pleur sur le plancher de l’étable que Ferugon ma faite son aveu.
-Sériel, mon enfant, tu es prête
-a quoi je ne vaux rien je ne suis q’une assassine’ dis-je avec difficulté tend mes pleurs m’échappait !
-Tu es prête a te venger même que tu as déjas commencer. Vole Le cheval du maître et prend mon épée. Vas sans jamais te retourné, vas sans jamais revenir et surtout vas sans jamais oublier. Aller part Sérégone!

Sur ses mots je pris son épée et monta sur l’animal. « Tien prend cette cape et part au plus vite j’irais cacher le corps de l’enfant »je partit l’esprit libre et la vengeance dans le cœur. Je galopais mes cheveux blonds flottant au vent. Soudain je cria à l’animal de s’arrêter.


Je fut demi-tour vers la petite maison de paille j’avais oublier quelque chose. Arriver la-bas j’entrais en catimini dans le petit hall de la maison. Je marchais jusqu a ce qu’ils appelaient la salle au trésor. La ou était mon anneau la seul chose qui m’appartenait dans cette maison hanter de rancune. Mon anneau était la seul sur une table, je le pris et l’enfila sans le doigt ou pour la première fois il était. Quand je me retournais le maître était la dans le cadre de la porte me regardant de son regard agressif et terrifiant ! Il m’attrapa par les cheveux et avança mon visage du sien. « Chut ne fait aucun bruit ma femme dort sale chienne » me dit t’il. Je tentais de me débattre quand tout a coup, il tomba comme ça sur le plancher. Devant son corps coucher sur le plancher se trouvais le plus courageux et charmant des elfes noirs. Il me dit de vite partir car le maître se réveillerait dans quelque minute. Je courais vers la porte et monta le cheval qui d’un haineusement partit à toute allure. Nous arrivèrent à une petite fermette ou aucune chandelle ne dansait. L’endroit m’était plus que familier c’était la maison ou j’ai grandit. J’entras dans la maison ma lame coulant de sang sur le plancher, ma cape pendant jusqu a mes pieds, mon visage cacher par une grande capuche noire duquel pendait que mes cheveux blonds sal. J’entrais dans la chambre des maîtres telle une féline chassant son gibier.

Mon père était la dormant seul. Il avait l’air si paisible si ignorant dans quel enfer il m’avait pousser. Dans la salle aucun bruit seul les petits grincements de mes pas sur le plancher en bois. Devant lui aucune larme de joie ne coulait sur mes joues. Seul l’envi de lui faire voir ce que depuis 2 ans j’ai vaincu. J’étais la devant lui comme pétrifier. Je pris ma lame de mes 2 mains branlantes de nervosité. Je me mit à ses coté. Il dormait aussi paisiblement qu’un ange sur un nuage. Je leva mon épée au-dessus de son cœur. Je pris une grande respiration et avec l’habilité animale, j'introduisis mon arme dans le cœur de l’homme qui pour toujours convertit ma vie en abysse.

Ce n’est qua ce moment précis que je me senti libre et venger. Je sortis de la maison et partit sur le cheval volé qui lui aussi semblait être enchanté de c’être débarrasser de cette vue maudite. Présentement ma vrai vie commence. Celle que je vivrais vêtus de noir les yeux remplit de haine et de douleur.


Ces a ses mots que le journal conclu. Vous avez passé toutes la nuit a lire cette histoire qui au première lueur de l’aurore s'emporta. Vous enfiler vos habits habituels et sortez de votre maison une nouvelle histoire dans la tête. Sur votre route vers le boucher vous rencontré une jeune femme habiller de noir capuchonner ses cheveux blonds pendant de sa capuche. Surpris vous ne la quitter pas des yeux et la suivez sur sa route. Vous remarquer ensuite une bague dans son annulaire droit. Surpris vous aller lui converser. Elle ne répond pas souvent mais elle vous avoue que son est Sériel Sérégone. Vous insister pour lui payer un vers ce quelle accepte. Vous lui avouer avoir acheter son journal et lui citer quelque passage de celui-ci.

Étonnée-elle vous dévoile son visage. Ses yeux plus son percent mais son regard reste haineux et malheureux. Elle porte une cicatrice sur le sourcil droit prouvant que sa vie n’était pas rose. « Mais que fait une si pauvres deviens après toutes ses souffrances? » Vous lui dite avant quelle vous réponde d’une voix grave et sensuelle. « Depuis, j’aire dans les forêts essayant de trouver paix a mon âme qui jamais ne trouveras la sérénité.
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